mardi 28 juillet 2015

Age Of Sigmar : nouveau test concluant.

Tranche-Taille me propose de lui faire découvrir AOS et je saute sur l'occasion pour sortir mes hommes rats de leur tanière.

Se pose la question de l'armée et oui c'est encore le gros soucis de AOS, comment faire en sorte que le jeu soit équilibré. C'est impossible. C'était déjà le cas avec les points d'armées alors lâchons prise et prenons du plaisir à pousser de la figurine, lancer des dés et faire tourner les serviettes.



Une petit meute de skavens du clan des gris poils tente de mettre le feu à une maisonnée naine PierreNaissante. Mais le maître nain TerrePoussière n’étend pas laisser ses vils créatures détruire la chaumière ou il a vu le jour. Il prend un commando de choc et se barricade au alentours du hameau. Un corbeau espion nous livre une vision avant la bataille.
Une vision avant la bataille
Le contexte est posé car il est une composante importante permettant au joueurs de raconter une histoire et de l'ancrer dans une campagne narrative. Ici on sort de la compétition pure et dure car il faut bien l'admettre AOS n'est pas fait pour le tournoi. C'est un jeu qui permet à tous de jouer avec les figurines en sa possession sans forcement investir en euros et en temps. C'est ce qui ressort de ces premiers tests et de la lecture des Warscrolls. Il évoluera certainement mais en attendant ne boudons pas notre plaisir.

Pour ce qui de l'équilibre, il faut bien admettre que les tirs et les mages sont destructeurs même très destructeurs. Mon techo-mage a anéanti en un sort le canon nain qui avait rayé d'un boulet dix guerriers et fait fuir les dix autres aux tests de ralliement. Certes les dès ont été très favorables, mais la capacité d’annihilation du tir est importante et il ne faut pas en abuser.

AOS reste avant un jeu de dès et même avec un avantage sur le papier, le hasard reste le maître donnant des résultats bien étonnant. Il me tarde de tester ce mécanisme avec mon compère CDT-K pour savoir si je l'inclure définitivement dans ma ludothèque active.   

dimanche 26 juillet 2015

Age of Sigmar : La bonne surprise de l'été.

Je n'ai jamais jouer à Warhammer Battle même si j'ai suivi les derniers bouleversements et c'est donc sans a priori que j'aborde ce qui est pour moi un nouveau jeu.

Avec Atilla et Papillon_I nous avons tester ce nouveau mécanisme lors d'une rencontre à trois.



Après le déploiement
GW me surprend agréablement avec Age Of Sigmar (AOS) qui est pour moi une suite de découvertes qui vont totalement dans le sens de ce que je souhaite voir chez un producteur de jeu de figurine.
Comme si GW avait enfin compris que le monde de figurine à changer, mais aussi le monde autour de la figurine en donnant une nouvelle impulsion à son univers mais surtout à ses règles et ses moyens de diffusion devenus plus modernes.


- La gratuité des règles en PDF à l'heure du numérique, où moins d'une semaine après sa sortie un codex se retrouve facilement scannée sur le net, est pour moi une obligation. De plus une version allégée est bien suffisante car je n' aime pas me balader avec tout l'histoire du monde pour aller jouer avec un pote ou dans un tournoi. Par contre une version papier avec le fluff et de belles illustrations ne parait important pour les fans et ceux qui aiment s'imprégner de l'univers du jeu.
- La simplicité des règles. Certes quatre pages c'est peu mais j'aime bien les règles simples où le bon sens prend le pas sur codes strictes et des exceptions alambiquées. Pour l'avoir tester le système tourne bien mais cela demande vraiment que les deux joueurs soient de bonne foi et que les conditions (armée, victoire, décors, etc...) soient bien posées avant de commencer.
- La taille de la table ( 90 cm x 90 cm maximum) permet de mettre en place des décors agréables comme de petit village ou l'orée d'un bois sans avoir besoin de trop de matériel. C'est pour moi l'occasion de finir le village de Verterive. 90 cm étant une largeur standard pour une table, je n'ai plus besoin de grande plaque de d'1, 20 pour jouer  dans le salon.

- La diminution du nombre de figurine me permet de collectionner les peuples et c'est une bonne chose car j'aime bien avoir plusieurs petites forces issues d'armées différentes pour varier les plaisirs et les tactiques de jeu sans me ruiner (Merci les proxys) et sans m’enchaîner à mon atelier de peinture.

- L'absence de valeur pour les unités pose une question intéressante : Comment juger et mettre en place une rencontre équilibrée où les deux parties ont une chance de remporter la victoire ? Certes le bon sens et le fair-play sont de rigueur mais cela n'est pas suffisant. Une des pistes de travail va rester de scénariser les parties avec peut-être des limitations dans les choix d'unités, le temps nous en dira un peu plus.

J'espère pour tester cette règle avec d'autres compères pour voir si elle correspond bien à mes attentes.