samedi 11 janvier 2014

Takenoko et autres jeux en finesse

Avec les fêtes nous avons reçu les amis et en bons joueurs que nous sommes nous en avons profité pour sortir les grands classiques (non pas la Monopoly, ni le Trivial Poursuit).

Voici un aperçu des jeux pratiqués pendant les vacances.

Takenoko Géant : Nell et Tarot nous ont apporté la version Géant de Takenonok, le jeu du panda qui se goinfre de bambou.
Le principe est simple, on dispose de deux actions par tour permettant de faire pousser des bambous ou de les faire manger par le panda. Des épreuves nous propose de mourir la bête ou de jouer les jardiniers en herbe, le but étant de cumuler le maximum de points en réussissant ces épreuves. Un jeu tout en douceur qui demande une bonne capacité d’adaptation. Un jeu sympa même pour les plus jeunes car il n'y rien à lire.


Cash & Guns : Pat et Mat, on ressorti les flingues de ce jeu de bluff, où l'on doit intimider les autres pour récupérer le magot et avec des rôlistes à la table ça devient vite une franche rigolade.








Munchkin : on ne présente plus ce petit bijou d'humour purement lié à l’univers de Donjons et Dragons. Son secret réside dans les commentaires des cartes rappelant les parties de jeux de rôle des années 80.








Service compris : un jeu plein de coup bas et de vilenie où chaque joueur doit sauver son peuple de la gloutonnerie de l'ogre Oscar. Idéal pour une fin de soirée ou avec des enfants pas trop rancunier.








Citadelles : On essaie de construire une ville en endossant tour après tour le rôle de roi, marchand, évêque et même assassin. La subtilité de ce jeu consiste à deviner le rôle de chacun au chaque tour et jouer en conséquences.





Mr Jack Pocket : un petit jeu à deux ou l'un doit trouver Jack, et autre lui permettre de s'enfuir, une sorte de Mastermind à deux.









C'est ceux dont je me souviens ma mémoire vieillissante me jouant des tours.






jeudi 9 janvier 2014

Games of thrones, Saison 2

Si la première saison ne m'avait pas enthousiasmé, ces nouveaux épisodes m'ont donner envie de poursuivre l'aventure surtout que le fantastique a pris le pas sur les sordides complots de la cour.


L'intrigue reste basée sur les manipulations des puissants au mépris des peuples, l'arrivée d'êtres tirés des contes donnent un nouvel élan à cette série qui sinon serait rester un sordide huit-clos.
Grâce aux dieux, nouveaux et anciens, nous partons sur les champs de batailles, de l'autre coté du mur et dans le désert avec enfin de grands espaces qui donnent une bouffé d'oxygène bien nécessaire pour la suite de la série.

Le casting reste parfait et chaque personne se dévoile en bien ou en mal, avec un second coup de cœur pour le gnome Tyrion, dont la finesse intellectuelle est la plus puissante des lames.

La saison trois nous attend pour passer l'hiver au chaud.

   

mardi 7 janvier 2014

Fringe Saison 4


Depuis le temps que je devais commenter cette nouvelle saison de Fringe, voila qui est chose faites.
On suit avec plaisir les personnages principaux de cette série même si les épisodes ont un air des déjà vu.

Les fans pourront voir cette suite, pour les autres rester aux trois premières saisons qui suffise largement.

Je ne pense pas visionner la saison 5, qui en plus est vendue le prix d'une saison à 24 épisodes alors qu’elle n'en fait que 12.



dimanche 5 janvier 2014

On repart comme en 14 ...

Nous sommes repartis pour une nouvelle année que je souhaite ludique à tous. 

Les nouveaux objectifs de l'année ont été mis à jour dans la page correspondante et vous pourrez suivre leurs évolutions au fil du temps.

Comme un billet sans photo n'est pas un billet, voici le dernier monstre sorti des forges chaotiques en 2013. 

En version bête de siège :


Et la version artillerie lourde :

samedi 4 janvier 2014

La désolation de Smaug

Désolation c'est bien le mot qui convient après avoir vu le second épisode de la trilogie du hobbit. Je ne comprends pas comment l'homme qui a filmé "Le Seigneur des anneaux" a pu pondre une telle farce.




Sous prétexte que le livre et donc le film sont plus enfantins, le réalisateur se permet des aberrations délirantes comme : 
  • Une amourette entre une elfe et un nain. Personne ne peut y croire, surtout dans un univers aux animosités aussi puissantes que celui de Tolkien. Rajouter un personnage à l'oeuvre originale pour lui donner un rôle grotesque n'est pas la meilleure idée pour ce chapitre.
  • Le moindre combat est une suite de coups improbables, de sauts impossibles, de pitreries qui certes séduisent le jeune public, mais désolent  les plus grands par leur invraisemblances.
  • Une interprétation pathétique du roi elfe, qui se contorsionne comme un serpent. Là aussi c'est délirant quand on connait les elfes des terres du milieu.
  • Et tant d'autres élucubrations que je ne note pas ici tant la liste est longue.
Il reste des paysages superbes, une musique, un univers qui nous transportent dans cet autre monde.

Un bravo pour Smaug, magnifique représentant de la race des dragons, qui tient bien son rôle tant visuellement que verbalement. C'est une des rares perles de ce film.

Que dire, sinon que je suis déçu de ce nouvel opus. Il se veut grand public mais en devient rocambolesque et invraisemblable ce qui est toute de même un tour de force pour une adaptation d'une oeuvre imaginaire.